Habitants d’ASNAN

Nombres d’habitants permanents :

environ 160

Densité sur le village : 30, 2 hab/km2

Origine du nom  :

du gaulois « Nantos »= vallée ( autrefois Anatum – Anant - Anetum viendrait d’après Albert Dauzat, linguiste ) du gaulois Nantos= petit val nom latin « Aanantum »(antos – adnantum) qui signifie vallon près du ruisseau ( voir historique).

Brève histoire :

La commune d’Asnan a été bâtie au pied de la colline du Montgué (361m) et autour de la source donnant naissance à un ruisseau qui rejoint l’Yonne, le ruisseau des Bouilles. Les nombreux outils en pierre taillée et polie retrouvés autour du Montgué sont les témoins de l’occupation du Montgué remontant au paléolithique.

Curiosités à découvrir 

• Panorama du site du Montgué magnifique point de vue sur les monts du Morvan et une partie du nivernais.
  Sur cette colline a été érigée un, lors d’une mission de 1893 une statue en fonte d’une hauteur de 3 mètres « Notre Dame D’Asnan » qui domine la campagne environnante,la colline  lieu mytique longtemps voué aux moines. Un sentier nous permet d’atteindre son sommet et d’admirer le panorama. Asnan offre la possibilité de très belles promenades dans la  forêt.
• Ancien Oppidum sur un éperon barré. Il a fait l’objet de fouilles archéologiques en 1970.
• La sources des Moines. La légende veut que les moines appréciant les qualités de l’eau descendent du prieuré de la montagne  avec les ânes chargés d’outres, pour s’approvisionner à cette source, qui ne tarit jamais . Déjà captée pour alimenter le lavoir communal, elle est dotée d’une pompe à main du XIX e siècle.
• Le lavoir communal du XIX è siècle :photo avec la fontaine Il s’agit de deux lavoirs se faisant face, de chaque côté d’un bassin alimenté par l’écoulement de la fontaine des moines, c'est le seul lavoir de cette forme, avec impluvium à double versants, dans le canton.

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  Le puits communal en pierre du XVIIIé siècle. Les puits sont utilisés par plusieurs ménages et sont à la disposition de l’ensemble des habitants du village. Celui-ci à la forme traditionnelle des puits du XVIIIe siècle. Au XIXe siècle, ils sont couverts d’un toit d’ardoises soutenu par des piétements en fer forgé. Il en existe deux dans le village.