En 1789, à l’heure de la convocation des Etats Généraux, l’abbé Nicolas Gasté, ancien jésuite, fait une transcription si réaliste des misères de sa paroisse qu’elle parvient jusqu’au premier ministre Necker. Elle est souvent citée pour illustrer cette période de l’Histoire.
Prêtre de tempérament, insermenté, il meurt en déportation à Brest en 1794. Son neveu Nicolas Gasté le remplace en 1790 ; c’est lui qui, à sa mort, cède sa maison aux religieuses de la Charité de Nevers qui devaient perdurer un siècle. .
JLP